Sainte-Unefois
est le premier roman de Louise de Vilmorin, publié en 1934 chez Gallimard.
Milrid, en cet instant, la comprit
mieux qu'elle-même : il faillit la prendre dans ses bras. Il l'aurait embrassée
s'il avait pu croire qu'ils en mourraient tous les deux. Seule la certitude
qu'ils continueraient à vivre l'empêcha de le faire
Je
n’ai pas terminé ce livre et je ne compte pas le faire. J’étais intéressée par
Louise de Vilmorin, qui a été la compagne, entre autres de Malraux. J’ai donc
choisi ce roman paru en folio 2 euros et je suis contente de ne pas avoir payé
plus cher.
Je
me suis arrêtée à la moitié environ du roman parce que je ne comprends
absolument pas ce qu’il se passe. J’ai bien repéré les trois personnages
principaux, mais sorti de ça, ce n’est qu’une mosaïque d’apparitions loufoques,
de dialogues sans queue ni tête et de phrases qui n’ont pas de liens les unes
avec les autres.
Je
comprends qu’on puisse aimer le surréalisme en art ou même en film, car ce sont
des médias qui laissent les spectateurs passifs en quelques sortes, libre d’imaginer
ce qu’ils veulent ou de passer à autre choses. Je ne le conçois pas en littérature
ou les gens sont actifs. Si au bout de 50 pages je ne comprends toujours rien,
je ne prends pas de plaisir à lire. Les quelques petites phrases poétiques et
évocatrices du roman ne suffisent pas à justifier, pour moi, de le lire jusqu’à
la fin.
Puisque je n'ai pas terminé le livre je ne lui mettrai pas de note. Si quelqu'un l'a lu et peut éclairer ma lanterne, je suis preneuse!
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