Matthew Inman, plus connu sous le
nom de The Oatmeal, est un illustrateur et auteur de B. D. Sur son site internet on
trouve de nombreux petits dessins, des quizz, des pensées, des explications…
Ce livre ne parle pas seulement de
running. C’est un livre qui parle de cupcakes. C’est un livre qui parle de
souffrance.
C’est un livre qui parle de
gloutonnerie, d’orgueil, de bonheur, d’orages électriques et de Godzilla
C’est un livre qui parle de des
terribles et merveilleuses raison pour lesquels on se lève chaque jour pour
soumettre son corps à l’épreuve de la pluie, du soleil, du paradis, de l’enfer.
Pourquoi je l’ai emprunté?
En
lisant le résumé je savais qu’il faudrait que je plonge dans ce livre. J’ai dû
attendre une visite suivante pour le prendre.
Mon avis
J’ai
adoré cette lecture. Je n’arrive même pas à lui trouver un point négatif pour
balancer un peu toutes les choses super positives que je vais souligner.
Avant
de commencer je tiens à préciser que je ne suis pas une grande sportive et que
je ne pense pas participer à un marathon. Ceci étant posé, le livre de Matthew
Inman c’est bien plus qu’un livre sur la souffrance physique que l’on ressent
lorsqu’on court.
Il
aborde les thèmes de la relation à la nourriture, des relations qu’on entretient
avec soi-même, des raisons qui nous pousse à simplement faire du sport ou à se
dépasser. Et on a même l’occasion d’apprendre quelques trucs sur le Japon (si
le truc sur les frelons n’est pas vrai, ne me le dites pas je préfère croire
que c’est la vérité !)
Après
une partie sur pourquoi courir des longues distances, l’auteur dérive un peu et
en quelques pages nous montre tous les mécanismes qui se mettent en action
lorsque l’on parle de sport et de nourriture. Finalement le livre se termine sur quelques
conseils. Vous saviez qu’il vaut mieux éviter d’écouter de la musique pendant
qu’on court ?
Les
dessins accompagnent super bien les différentes parties du bouquin, et toutes
les illustrations sur les démons intérieures m’ont fait sourire. Ce n’est pas
ce qu’on peut appeler du grand art, tout est assez simpliste. Mais au final ça
n’a pas d’importance, car les illustrations sont au service du texte. Les deux
ont un ton léger et rigolo, mais les vrais problèmes sont posés et de manière
assez intelligente.
En
gros je l’ai tellement apprécié que j’hésite à me l’acheter maintenant.
Je m'édite parce que je viens de voir le prix du livre, finalement je vais pas l'acheter!
Je m'édite parce que je viens de voir le prix du livre, finalement je vais pas l'acheter!
Ma note 5/5
Je n'aurais jamais prêté attention à ce livre en temps normal, mais là je dois dire que j'ai très envie de le lire!!
RépondreSupprimerJ'espère qu'il te plaira autant qu'à moi si tu tombes dessus !
SupprimerJe serai peut être passée à côté sans lire le résumé...Je ne sais pas si je me l'achèterai mais dès que je tombe dessus, je jette un coup d'oeil !
RépondreSupprimerOui si t'as l'occasion, en plus il se lit en une vingtaine de minutes!
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